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Pas un pipeline de plus!

  • Pas un pipeline de plus!

    C’est simple : vos projets pétroliers, gaziers, miniers, on n’en veut pas. Non seulement on s’y oppose, mais on lutte et on luttera encore et toujours pour abolir tout projet extractif colonial, peu importe où il se trouve. Vos projets pétroliers, gaziers, miniers, on n’en veut pas et ils ne passeront pas. Tarifs douaniers ou pas.

  • Le PRGT, c’est quoi?

    Le PRGT, c’est quoi? Un nouveau projet de pipeline en Colombie-Britannique. Les Gitxsan et les Gitanyow luttent activement pour protéger leurs territoires ancestraux.

  • Le PRGT: une stratégie prédatrice

    PRGT : Une stratégie prédatrice

  • Le redwashing des projets extractifs

    L’importance de la souveraineté des Autochtones sur leurs terres a été comprise par les politicien·ne·s, par les industries minière et pétrolière, ainsi que par les idéologues de droite, qui comprennent la menace qu’elle représente pour l’expansion des industries extractives. C’est pourquoi les compagnies et les gouvernements cherchent activement à mettre en place une acceptabilité sociale à l’implantation de leur projets sur les terres Autochtones.

  • De l’Île de la Tortue à la Palestine, l’occupation est un crime

    Alors que le mouvement pour la libération de la Palestine connaît une croissance exponentielle depuis la fin de l’année 2023, il est important de comprendre d’où vient une partie du modèle d’occupation israélien : d’ici même, dans ce qu’on appelle le Canada.

    Comme l’explique Gabor Maté, survivant de l’Holocauste : « Il s’agit de deux pays fondés sur l’extirpation des cultures Autochtones et le déplacement des peuples Autochtones. »

  • Propriété privée et dépossession au soi-disant Canada

    L’objectif de cet article est de jeter un regard critique sur les développements du droit canadien concernant la définition du « titre Autochtone » (un droit collectif sur les terres, parfois nommé « titre Aborigène ») en les inscrivant dans une histoire longue de dépossession façonnée tant par les visées économiques de l’État colonial que par la complicité de son système de justice. Sans pour autant minimiser les gains réalisés par les Premières Nations dans l’arène juridique, il est important d’en relever les limites.

  • Pourquoi est-ce qu’on soutient les luttes Autochtones anticoloniales?

    Plusieurs se demandent pourquoi les luttes écologistes allochtones se lient régulièrement avec celles des camarades Autochtones contre le colonialisme. On peut notamment penser à Shut Down Canada en 2019-2020 contre le pipeline CGL en territoire Wet’suwet’en, au mouvement #NODAPL contre le Dakota Access Pipeline, aux manifestations contre la ligne 3 du pipeline Enbridge au Minnesota, et à la lutte actuelle contre le projet de pipeline PRGT en territoire Gitxsan. Il est en effet intéressant de réfléchir à la pertinence, à la portée et aux objectifs de nos luttes.

  • Mise à jour sur le pipeline CGL

    Depuis maintenant une décennie, les chef·fe·s héréditaires Wet’suwet’en et des gardien·ne·s du territoire ont lutté contre la construction de la phase 1 du pipeline Coastal GasLink (CGL). Une unité hyper-militarisée de la Gendarmerie Royale Canadienne (GRC), la C-IRG (maintenant renommée Critical Response Unit) a envahi à plusieurs occasions le Yintah, territoire ancestral Wet’suwet’en, arrêtant des défenseur·euse·s du territoire à l’aide d’armes, de chiens policiers et de séances de torture.

  • Retour sur CGL : Résistance à l’écocide

    Malgré plus d’une décennie de résistance acharnée et de luttes soutenues contre Costal Gas Link (CGL) et TC Énergie, prédécesseur du PRGT sur le territoire non-cédé des Wet’suwet’en, l’automne 2022 a marqué un tournant tragique pour le Yintah et l’écosystème fragile qui en dépend. Le début des travaux sous la Wedzin Kwa, rivière sacrée, a porté un coup dur aux défenseur·euse·s de cette terre ancestrale et à celleux qui se battent pour préserver l’équilibre écologique de cette zone.

  • Que peut-on faire maintenant ?

    Même si la ministre de l’environnement (et des parcs!) britanno-colombienne a renouvellé l’approbation environnementale du PRGT, si on est assez rapides et efficaces, on peut empêcher sa construction: ce combat peut-être gagné. En effet, comme pour tout projet d’infrastructures, une approbation, permis ou autre ne signifie pas nécessairement que le projet se mettra en marche. Dans le cas du PRGT, ça veut dire que le projet doit maintenant convaincre des créanciers: des grands investisseurs, des banquiers ou des fonds de retraite.

Transport pour toustes

  • Transports pour toustes

    Ce qu'on veut est clair: l’accès au transport pour toustes.

    De nos jours, se déplacer sur de moyennes ou grandes distances est essentiel pour travailler, faire l'épicerie, chercher les enfants à l'école et à la garderie, visiter ses grand-parents au CHSLD, aller chez lea dentiste, aider ses ami·e·s à déménager, être en contact avec des espaces verts, etc. Dans ce contexte, le transport doit impérativement être défendu. Le transport ne devrait pas se réduire à une marchandise ni à une source de profit : il est une nécessité.

  • La métamorphose des villes

  • Transport de longue distance – l'épidémie des autoroutes

  • Le stationnement – c'est politique!

  • Construire plus de routes, c'est construire plus de trouble

  • Le REM: le désastre du transport privatisé

  • Pour un transport collectif gratuit et qui profite à toustes

    Cliquez sur l'image pour l'agrandir!

  • Limites d'un transport en commun gratuit

    Le transport en commun gratuit, ce n’est pas une utopie, mais est-ce que c’est la panacée? Il y a beaucoup d’aspect positifs à demander la gratuité, mais dans un système capitaliste, il faut rester vigilant·e·s, car cette revendication pourrait être réappropriée par les riches.

  • Démarchandisons le transport

    Faisons un bref exercice de pensée. Le capitalisme est né dans le lit d'une société relativement fonctionnelle: des paysan·ne·s qui travaillent pour survivre, qui organisent leur propres besoins – parasité·e·s par la royauté et la noblesse, mais quand même libres de produire ce qui leur semble nécessaire et de le consommer en partie. Au contraire, la logique capitaliste actuelle détermine ce que l'on produit et consomme.

  • Le logement doit devenir un droit

  • Le transport actif

    Un système de transport en commun gratuit, accessible et qui répond réellement à nos besoins, c'est bénéfique pour tout le monde, incluant les personnes qui utilisent le transport actif! Voici en rafale quatre avantages importants:

  • Les coops de vélo et le transport pour toustes

    L'accessibilité au transport, c'est le nerf de la guerre – d'où le nom du journal, et le but d'un transport collectif gratuit. La culture du char consiste aussi au positionnement de l'automobile comme symbole de statut social rivalisant une maison, à un coût rivalisant un loyer.

  • Pourquoi attendre l'État? Vers un transport en commun populaire

    Le transport en commun montréalais, autrefois présenté comme un symbole de la modernité urbaine, trébuche aujourd'hui sous le poids de ses propres faiblesses. Les retards, la couverture inadéquate des services et les tarifs élevés définissent les déplacements quotidiens de milliers de personnes, tandis que les personnes âgées et handicapées doivent naviguer dans un système indifférent qui reconnaît à peine leur existence.

  • Mort à la culture du char: saboter, se réapproprier, collectiviser

    À travers ce journal, on a vu pourquoi l'aménagement du territoire et le système de transports actuels nous rendent dépendants de l'auto. On a aussi vu les limites des transports collectifs d'aujourd'hui, ainsi que les pièges à éviter pour rendre ces services réellement accessibles à toustes dans l'avenir. Mais par où commencer pour renverser la culture du char?

     

  • De la ligne rose à la mince ligne bleue: la transformation des priorités de Projet Montréal

  • Montréal est (encore) une ville capacitiste

    L'équipe de rédaction de ce journal n'a pu faire lumière sur tous les enjeux d'un transport réellement accessible pour toustes. Un de ces enjeux est la place donnée (ou pas) aux personnes handicapées ou vivant des problématiques qui affectent leur santé mentale.

Journal Bloquons NorthVolt

  • Northvolt, un projet vert?

    Le courtage entre cette compagnie suédoise et la CAQ pour l’implantation de sa méga-usine de batteries de voiture, Northvolt Six, date d'aux alentours de la COP15.

  • Perspectives locales sur Northvolt Six

    Les conséquences de l'implantation de Northvolt en Montérégie sont plurielles. En plus de la destruction des écosystèmes qu'entraînerait la construction de son usine, les décennies qui viennent verront aussi une multiplication des effets pervers de sa mise en activité, puisque la fabrication de batteries affectera la vallée du Richelieu tant sur le plan écologique que social. Regardons de plus près les multiples facettes du désastre de Northvolt Six.

    ​​Destruction de milieux naturels

  • Derrière Northvolt, la filière batterie du projet Saint-Laurent

    Vous l’avez certainement entendu depuis son annonce en septembre 2023, la giga-usine Northvolt Six ne fait pas l’unanimité au Québec. Plusieurs critiques concernant l'installation de la manufacture de batteries font constamment les manchettes : désastre pour la biodiversité de la région, mise en place antidémocratique du projet, opacité des processus décisionnels de la CAQ, changement des seuils d’assujettissement pour l’étude du BAPE...

  • Mines partout, justice nulle part

    On a beaucoup parlé des impacts environnementaux qu’aura la construction de la méga-usine de batteries de Northvolt à même son site. Construction autorisée sans évaluations et sans délai, on peut dire adieu au rôle de corridor écologique que joue cet emplacement. Or, si on prend un pas de recul, qu'est-ce que ça veut dire sur le plan écologique de produire un demi-million de batteries de char par année?

  • From Turtle Island to the DRC: No blood batteries!

    As capitalists around the world embark on a mass propaganda campaign to convince people that electrified vehicles represent our only way out of the climate crisis, they are in fact manufacturing consent for further mining and environmental devastation on Indigenous land, both at home and abroad. It is in large part from the expropriation and theft of these so-called "critical" minerals from Indigenous land that capitalist profits flow all the way up the supply chain, leaving nothing but pollution, poisoning, and human suffering in their wake.

  • Colonialisme, cobalt et Congo

    Le sol de la République démocratique du Congo (RDC) regorge des minéraux nécessaires au maintien du mode de vie des pays du Nord global et d’un nombre croissant de pays du Sud global. Le 19 janvier dernier, la compagnie Northvolt a d'ailleurs annoncé son intention d'acheter du cobalt du pays d'Afrique centrale1.

  • Les dessous de la filière « critique et stratégique »

    Derrière la course effrénée à développer la filière batterie et à se positionner comme chef de file dans «l’économie verte» se cachent toutes les étapes de la chaîne d’approvisionnement et de transformation des soi-disant «minéraux critiques et stratégiques» (MCS) nécessaires à ces batteries. Si l’extraction du cuivre, du graphite, du niobium, du zinc, du cobalt, du nickel, du titane et du lithium amènent leur lot de problèmes socio-environnementaux dans le monde, l’étape de transformation industrielle du minerai au minéral n’est pas non plus sans conséquence.

  • Mort à l’étalement urbain

    Nos sociétés de croissance reposent sur le rêve américain, soit la croyance qu’en travaillant fort, quiconque peut les personnes peuvent réussir et prospérer économiquement. Ce mythe érige la possession d'une automobile et d'une maison unifamiliale en banlieue en symbole du succès. Les individus ne peuvent ainsi s'émanciper qu'en sacrifiant des milliers d'heures de travail salarié étalées sur plusieurs décennies.

  • Pour un transport inclusif: oublions la voiture

    Les subventions aux entreprises de la filière batterie ne servent qu'à sauver l'industrie automobile et accroître sa domination sur les autres moyens de transport. Cette industrie dépend d'un mode de transport qui renforce les inégalités sociales, que ce soit au niveau du sexisme, du racisme ou du capacitisme. En effet, le transport centré sur l'automobile vient renforcer ces inégalités déjà présentes dans la société actuelle.

  • Terrasser la culture du char à grands coups de Kryptonite*

    Le vélo comme outil d’émancipation

  • Crush Car Culture With Free and Expanded Public Transit!

  • Vers une économie réellement durable

    Démanteler le capitalisme et bâtir des alternatives collectives

  • Déjouons la culture du char: carrés blancs sur black bloc

  • Horoscope

    *si vous êtes né·e·s avant le nouvel an (~début février), vous êtes considéré·e l'année précédente

    Rat (1972, 1884, 1996): Votre esprit vif vous permettra de planifier des stratégies astucieuses pour vos actions. Si vous gardez un équilibre entre l'action directe et la réflexion, vos idées novatrices peuvent être la clé pour surmonter les obstacles et sauter des barrières.

  • Conclusion

    Quoi faire?

    Nous pouvons résister à la logique destructrice du capital. Les investissements massifs de Northvolt sont à un jet de pierre de Montréal et sont très vulnérables étant donné les délais de construction et les hausses de coûts à prévoir. En bloquant Northvolt et sa chaîne d'approvisionnement, on est solidaires des groupes autochtones qui protègent leurs terres de l'exploitation minière. On s’attaque aussi à l’impérialisme, à une logique de transport nuisible et à un projet d’écoblanchiment qui justifie la dévastation environnementale globale et locale.



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Rage Climatique, Coalition Anticapitaliste et Écologiste

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